Marguerite Duras parle ici d'elle-même, de la solitude dans sa maison et la solitude de l'écrivain. À propos des des enfants qui, en hiver, viennent patiner sur l'étang et l'empêche de travailler. À propos de la mort d'une mouche dans son garde-manger.
Elle parle de la mort d'un pilote anglais de vingt ans, qui, en mai 1944 s'est écrasé à Vauville en Normandie. Connu par personne, mais pleuré par tout le village. Et l'anglais âgés qui, pendant huit ans, est venu annuellement pleurer sur la tombe.
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