La mort est mon métier sont les pseudo-mémoires de Rudolf Höß (renommé Rudolf Lang dans l'ouvrage), écrites par Robert Merle. Cette œuvre fut achevée en 1952. Comme l'indique Robert Merle dans sa préface, ce livre a été écrit à contre courant et a semblé, lors de sa parution, quelque peu "démodé". En effet, le sujet de cet ouvrage avait déjà été traité de nombreuses fois après la Seconde Guerre mondiale et la découverte des camps de concentration.
Biografia, Autobiografia, Memórias / Ficção