" Cest au coin du feu, dans une mystérieuse, dans une splendide retraite qui nexiste plus, mais qui vivra dans notre souvenir, et doù nos yeux découvraient Paris, depuis les collines de Bellevue jusquà celles de Belleville, depuis Mont- martre jusquà lArc-de-Triomphe de lÉtoile, que, par une matinée arrosée de thé, à travers les mille idées qui naissent et séteignent comme des fusées dans votre étincelante conversation, vous avez, prodigue desprit, jeté sous ma plume ce personnage digne dHoffman, ce porteur de trésors inconnus, ce pèlerin assis à la porte du Paradis, ayant des oreilles pour écouter les chants des anges, et nayant plus de langue pour les répéter, agitant sur les touches divoire des doigts brisés par les contractions de linspiration divine, et croyant exprimer la musique du ciel à des auditeurs stupéfaits. Vous avez créé GAMBARA, je ne lai quhabillé. Laissez-moi rendre à César ce qui appartient à César, en regrettant que vous ne saisissiez pas la plume à une époque où les gentilshommes doivent sen servir aussi bien que de leur épée, afin de sauver leur pays. Vous pouvez ne pas penser à vous ; mais vous nous devez vos talents...."