« Je me lève comme un pantin pour chercher mon flambeau, je regarde Denis et les joueurs sans les voir vraiment. Si je navais pas insisté pour imposer mon choix de vote, je naurais pas été éliminé. Les quelques secondes seul avec mon flambeau sont horribles. Je repense à toute laventure à mes erreurs de stratégie, à mes choix plus ou moins heureux... puis à mes filles... leur papa ne sera pas le gagnant de Koh Lanta. » Javier nous décrit son parcours mais surtout le choc, quand tout sarrête et que le rideau sabaisse, le retour à la vie quotidienne, en pleine crise de la quarantaine et sous le regard critique des téléspectateurs. Une nouvelle notoriété difficile à gérer face à lagressivité des réseaux sociaux et de la presse.