Ce qui bougea en premier, ce furent les yeux, les yeux superbes de verre gris-vert. Ils pivotèrent lentement pour se fixer sur le visage de Triss. Puis la petite bouche frémit, souvrit pour parler. « Quest-ce que tu fais là ? Pour qui tu te prends ? Cest ma famille. » Quand Triss se réveille à la suite dune noyade dont elle a réchappé, elle comprend que quelque chose ne tourne pas rond : elle est prise de fringales incoercibles, elle se réveille la nuit des brindilles dans les cheveux, et sa sur a peur delle. "Frances Hardinge écrit telle une des sorcières de Macbeth en train de danser autour du chaudron à potion. Dans Le chant du coucou, au lieu dyeux de tritons et de pattes de grenouilles, il y a une poupée mangeuse de petites filles et une fille avaleuse décrans de cinéma, mais le résultat final est le même : une mixture délicieusement sombre et dangereuse qui vous ensorcelle." - The Guardian