« Maintenant ce qui a été moi est libre De recevoir la vraie neige Ouverte à labsence de moi Elu le voyageur qui chante Parce quil est attendu Mais plus heureux celui qui se perd Déjà sans corps sans regard O buée de lImparfait Dans le puits de Dieu et du vide » Prosaïsme et sublime, nature et humanité dévoyée, Dieu et son absence, animaux et odeurs, plantes et crânes des vanités, ainsi va la poésie de Jacques Chessex.